André Barbier (1883 – 1970)
En 1903, âgé de vingt ans, André Barbier s’installe à Paris. Il devient l’ami du génie de l’impressionnisme Claude Monet qu’il admire.
Il fréquente également Albert Marquet, de Maurice Denis et de Georges d’ Espagnat… Le cercle parisien l’initie à la peinture du tournant du siècle qui révolutionne la pensée picturale de l’époque.
Il expose au Salon des Indépendants de 1903 à 1938 ainsi qu’au Salon d’Automne et des Tuileries, puis montre ses œuvres dans des expositions personnelles, notamment à la Galerie Durand-Ruel.
Il peint de nombreux paysages de Paris et de sa proche banlieue, la Normandie et la côte d’Azur, jusqu’à l’Italie.
André Barbier est décrit par ses proches comme généreux, altruiste, à l’esprit ouvert, passionné de musique, d’astronomie et de photographie.
Sa technique prouve sa compréhension intime des subtilités de l’Impressionnisme et une sensibilité personnelle aux jeux sans fin de la lumière.
MUSÉES
• À Paris : musée d’Orsay, centre national des arts plastiques, fond municipal d’art contemporain de la ville de Paris.
• En France : musée de Bagnols-sur-Cèze, musée des beaux-arts d’Orléans, musée d’art et d’histoire de Lisieux, musée Alphonse-Georges Poulain de Vernon.
BIBILIOGRAPHIE
• Gérard Schurr, Pierre Cabane, Dictionnaire des petits maîtres de la peinture, 1820-1920, t. II, Paris, Éditions de l’Amateur, 1996.
• Lydia Harambourg, Dictionnaire des peintres paysagistes français du XIXe siècle, Neuchâtel (Suisse), Éditions Ides et Calendes, 1985, p. 313.